Grèce - Dodécanèse, 2007
| Grèce, de Naxos à Rhodes, du 18 août au 1erseptembre 2007 |
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L'équipage au complet réuni au Pirée, Le Pirée |
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Nous mettons les voiles vers Los puis Santorin, Nous explorons d'abord la petite île de Thirassia
et traversons l'impressionnante caldeira de Santorin, l'une des plus grandes du monde, formée par une gigantesque explosion volcanique en 1500 avant notre ère. Sur les falaises,
les habitations ressemblent à des sommets enneigés. Ici, les fonds sont très profonds : l'arrivée sur le mouillageîle de Thirassia |
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Nous traversons ensuite la caldeira en passant au large des îlots Kameni, des îles de lave surgies à la suite d'éruptions volcaniques.
îlots Kameni
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 Nous restons quelques jours dans la marina de Santorin pour visiter l'île en bus.
La civilisation minoenne a laissé de magnifiques fresques et les panoramas vertigineux valent le détour
Santorin
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Ensuite, nous remettons les voiles, direction Armogos.
Mais Éole n'est pas de cet avis : en effet pendant notre escale à Santorin le « meltem » s'est levé et se met à souffler fort durant plusieurs jours, nous empêchant de gagner dans le nord. Nous nous rabattons donc sur les îles plus au sud : Anafi, puis Astypaléee, des îles peu fréquentées par le tourisme. Dans la région, l'effet venturi génère des couloirs de vent et des rafales parfois violentes dans les mouillages.
île d'Anafi
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Le meltem souffle aussi fort la nuit que le jour, et nous devons remouiller plusieurs fois la nuit à Astypalée où le mouillage ne tient pas. mouillage d'Astypalée |
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Après une nuit mouvementée, Gérard, notre chef de bord, prend la décision de partir, malgré les 40 nœuds de vent,
afin d'aller trouver ailleurs des eaux plus calmes. Sous voilure très réduite, par vent fort mais avec une mer maniable, nous traversons sans encombre vers l'île de Kos, 35 milles plus à l'est, et abordons de ce fait l'archipel du Dodécanèse, un ensemble d'îles très proches des côtes turques.
Ici, c'est une autre architecture que dans les Cyclades, avec des influences turques et vénitiennes. Kos est l'île du célèbre médecin Hippocrate.
Impossible d'entrer dans la marina de Kos : pas de place. Nous mouillons donc dans le vieux port où règne une ambiance très animée car c'est d'ici que partent les caïques et autres ferries qui font l'aller-retour entre la Grèce et les ports turcs sur la côte juste en face.
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A Kos, nous partons à la découverte des champs de fouille de la ville antique, malgré la forte chaleur.
Le fameux « Asclepion », l'hôpital d'Hippocrate, est fermé le lundi... Ce sera pour une autre fois !
Heureusement, les plages ne sont jamais loin pour se rafraîchir !
Asclepion à Kos
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Mais nous poursuivons notre périple vers l'île de Symi, en découvrant de nouvelles îles tout aussi rocailleuses et désertiques les unes que les autres, notamment Tilos. île de Tilos |
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L'île de Symi, c'est un petit bijou d'architecture néoclassique, rendez-vous des pêcheurs d'éponges. Mais notre périple touche à sa fin et nous arrivons à Rhodes, la cité médiévale, où nous rendons le bateau au loueur. Pendant quelques jours nous visitons cette étonnante ville close dominée par une forteresse imposante, le palais des chevaliers, qui nous ramène plusieurs siècles en arrière... avant de reprendre l'avion.
C'est sûr, il reste encore beaucoup de choses à découvrir dans cette région.
île de Symi |
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